Noël, c’est l’art de naviguer dans les conversations familiales tendues. La vente ? Pareil, mais avec des chiffres en jeu. Alors si tu veux briller comme un sapin et pas finir dans le décor, voici le parallèle ultime entre ton dîner de fêtes et ton job de commercial.
1. L’entrée – Prendre Contact
Arriver chez Mamie = cold call. Gênant si t’es pas préparé. L’accroche compte. Si tu rates l’entrée, t’es grillé. Sois comme le cousin cool : écoute, pose des questions, accroche ton prospect.
2. Le Plat Principal – Négociation
Tout le monde veut le meilleur morceau pour moins d’effort. Bienvenue à table… et en rendez-vous client. Ne lâche rien, mais donne l’illusion que tu fais un effort. Comme Mamie avec la fève truquée.
3. Le Fromage – Gérer les Objections
"Le roquefort, c’est trop fort" = "C’est trop cher". Même combat. Rassure, raconte des histoires, montre que d’autres ont goûté et kiffé. Et bam, ça passe.
4. Le Dessert – La Conclusion
Comme le tiramisu de ta sœur : faut que ce soit léger mais marquant. Si tu conclus en douceur, ton client reviendra. Si tu le satures, il te ghostera jusqu’à Pâques.
5. Le Café – Le Suivi
Pas de café = pas de final. Le suivi, c’est là que tu construis la fidélité. Un petit mail, un appel… comme ta tante qui check si t’as bien digéré. C’est ça qui fait la diff.
Conclusion : Vente et Noël, même combat
Anticipation, tact, gestion des ego, relance discrète… que tu sois à table ou au téléphone, les règles sont les mêmes.
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FAQ – Vente & Réveillon
Pourquoi comparer Noël et la vente ?
Parce que c’est le même jeu social : capter l’attention, éviter les faux pas, et conclure sans perdre la face.
Est-ce qu’un bon contact suffit à vendre ?
Non. C’est une suite logique : accroche, échanges, gestion des objections, relance. Comme un repas réussi.
Le suivi après-vente est-il si important ?
Oui. C’est ce qui transforme un one-shot en relation durable. Sinon, ton client finit comme le dessert oublié au frigo.
Faut-il adapter son discours à chaque client ?
Comme tu adaptes ton ton à chaque tonton relou, oui. Pas de discours unique, mais une structure adaptable.
Et si mon client est aussi dur qu’un chapon trop cuit ?
Sois patient, change d’approche, et surtout, ne force pas. Personne n’aime qu’on lui bourre la bouche de force.