Hello les loulous 👋
On est lundi, l’heure des 12 coups de midi avec Jean-Luc…
Mais surtout : l’heure de prendre tes tips sales pour tout défoncer cette semaine 🤜🤛
Et aujourd’hui, on va parler de deux trucs simples et fondamentaux :
- Comment traiter les objections commerciales sans passer pour un bourrin
- Comment bien qualifier un rendez-vous (sans flipper que le prospect change d’avis)
Prêt ? C’est parti 🔥
1. L’objection : “On travaille déjà avec un concurrent”
Erreur n°1 : répondre par une affirmation au lieu d’une question.
Tu veux convaincre un prospect qui bosse déjà avec quelqu’un ? Commence par COMPRENDRE. Pas par démolir.
Ce que tu dois faire : poser des questions ouvertes. Voici des exemples qui font le taf :
- “Depuis combien de temps vous travaillez avec eux ?”
- “Qu’est-ce qui avait motivé votre choix à l’époque ?”
- “Et qu’est-ce qui fait que vous êtes restés chez eux jusqu’à maintenant ?”
Tu veux savoir ce qu’il faut éviter à tout prix ? Cette question 💀 :
“Et si vous aviez une baguette magique, vous changeriez quoi ?”
Non. Juste non. On n’est pas en entretien RH ici. Ce genre de question te fait passer pour un amateur en manque d’inspiration.
Ce que tu dois retenir :
- Tu sais pas s’ils ont une vraie relation avec leur prestataire
- Tu dois rester subtil, empathique, et poser les bonnes questions
- Tu écoutes, tu observes, tu t’adaptes
Conclusion : empathie, questions ouvertes, écoute active. Et un peu de finesse bordel.
2. Bien qualifier un rendez-vous (et éviter les rdv touristiques)
“Prendre un rendez-vous, c’est bien. Mais un rendez-vous qualifié ? C’est vital.”
Si t’es tout excité par un “oui” au call, mais que t’as pas validé les bons critères derrière… tu vas te prendre un no-show ou un prospect mou du genou.
Le problème : beaucoup de sales ont peur de poser des questions après avoir booké le RDV.
“Et si je le saoule et qu’il annule ?”
Relax. On parle pas de faire une découverte de 10 minutes. Juste de poser 3 à 5 questions ciblées, bien placées.
👉 Voici deux conseils très concrets :
💡 1. Aie toujours un top 5 de questions ouvertes sous les yeux
Sur un post-it, sur ton fond d’écran, sur ton bras… peu importe :
- “Aujourd’hui, vous utilisez quoi comme outil pour gérer X ?”
- “Qu’est-ce qui vous a fait choisir cette solution ?”
- “Combien de personnes sont concernées dans l’équipe ?”
Tu adaptes à ton offre, mais tu prépares tes bases. Pas d’impro quand c’est stratégique.
💡 2. Pose les questions APRÈS avoir validé la date/heure
Tu verrouilles le créneau, puis juste avant de raccrocher :
“Ah oui au fait Serge, j’ai oublié de vous demander…”
Et là tu balances 2 ou 3 questions cruciales pour savoir si ton RDV vaut vraiment le coup. Timing parfait, pression nulle.
🚫 À éviter absolument :
Ne sors pas un interrogatoire BANT complet (Budget, Authority, Need, Timing). En outbound, ça passe rarement bien. On n’est pas là pour demander le budget à un inconnu au bout de 3 minutes.
Ce que tu dois retenir :
- Empathie toujours
- Questions ouvertes ciblées
- Timing : juste avant de raccrocher
Conclusion : Traiter les objections commerciales, c’est un art
Si tu veux closer, faut pas être un bourrin.
- Tu veux gérer une objection ? Commence par écouter.
- Tu veux qualifier un prospect ? Pose les bonnes questions au bon moment.
- Tu veux éviter les RDV bidons ? Prépare-toi, mec. C’est pas du freestyle.
Et rappelle-toi : la subtilité, c’est ta meilleure arme.
Besoin de former ta team pour poser les bonnes questions et closer comme des machines ?
Prends RDV ici. Je viens dans vos bureaux, et on fait passer vos sales en mode ultra.