Ah, le closing… Ce fantasme de fin de parcours où tout se joue à la dernière minute, façon film hollywoodien. Sauf qu’en vrai ? Tu t’es fait matrixer par des mythes. Voici ceux que tu dois effacer de ton cerveau – genre, maintenant.
1. "Le closing se joue à la dernière minute"
Faux. Si tu perds à la fin, c’est parce que t’as planté le début. Le closing, c’est tout ce que tu construis avant la phase finale : la découverte, la relation, l’écoute. Pas une pirouette de dernière seconde.
À faire : Revois ton dernier deal perdu. T’as foiré où ? (Indice : c’est souvent dès le call de découverte)
2. "Closer, c’est manipuler les émotions du client"
Ah non. Manipule aujourd’hui, perds ton client demain. Le vrai pouvoir, c’est l’authenticité. Tu veux que ton client te fasse confiance ? Sois transparent, pas flou.
À faire : Teste la transparence sur ta prochaine vente. Moins de bullshit, plus de valeur.
3. "Plus tu parles, mieux c’est"
Non. Plus tu parles, plus tu fatigues. Le client ne veut pas un monologue, il veut une solution claire. Laisse-le s’exprimer. Parle 30 %, écoute 70 %.
À faire : Pour ton prochain RDV, fais un chrono. Si tu dépasses les 40 % de temps de parole, t’as foiré.
4. "Les objections sont des obstacles"
Encore raté. Une objection, c’est un signe d’intérêt. Le client dit "je doute encore", pas "je ne veux pas". À toi de lever le doute, pas de fuir.
À faire : Affronte la prochaine objection avec calme. Reformule, rassure, démontre. Là, tu closeras.
Conclusion : Ferme la porte aux mythes, ouvre-la aux deals
Le closing, c’est pas un coup de poker. C’est une méthode, pas de la magie. T’as pas besoin de techniques obscures, juste d’une posture claire, honnête, préparée.
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FAQ – Le vrai closing, sans bullshit
Faut-il forcément utiliser des techniques de closing ?
Non. Ce qu’il faut, c’est comprendre ton client, être crédible, et proposer au bon moment.
Pourquoi certains pensent que le closing est une phase à part ?
Parce qu’ils veulent croire aux raccourcis. En vrai, tout se joue bien avant.
Et les objections ?
Elles sont normales. Ce sont des doutes à rassurer, pas des barrières infranchissables.
Comment savoir si mon client est prêt à acheter ?
Il pose des questions concrètes, il parle de délais, il t’implique dans ses scénarios. Sinon ? Il n’est pas prêt.
Parler d’argent trop tôt, c’est risqué ?
Pas si tu as montré de la valeur avant. Sinon oui, c’est du suicide commercial.